Le carré blanc (instauré en 1961) est l’ancêtre du contrôle parental. Il signalait tout ce qui était jugé, selon la morale de l’époque, pouvant choquer les têtes blondes : en
gros la violence et la pornographie, celle-ci débutant à la seule vision de la nudité !
Aujourd’hui, le carré blanc se raconte : l’érotisme, souvent dévoilé, reste une histoire d’intimité… tout comme le conte.
Nous, conteuse et musicien, proposons une heure de spectacle : des histoires, du tango, des chansons coquines... tout en sourire et en douceur.
Tous.tes peuvent s’y reconnaître : des jeunes gens aux grand-mères, tricotant leurs désirs ou leurs peurs avec les amant.es enamouré.es et leurs ardeurs.